Pour nous faire connaître, nous avons voulu faire diffuser une annonce sur la télévision locale (Télé-Sud-Vendée), nous présentant comme une association de défense contre les nuisances de l’aérodrome Luçon-Chasnais….

 

Pas de chance pour nous ! Le directeur de TSV est lui-même pilote et de par cela se permet de nous bâillonner en nous conseillant de surcroît d’être très gentils avec les pilotes, sans quoi nous nous exposerions à des survols encore plus fréquents qu’auparavant.

 

Nous nous sommes adressés aux ministères de l’Environnement, de l’Urbanisme pour dénoncer ce projet.

Nous avons alerté la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile), la Préfecture de la Vendée, le Président du Conseil Général de la Vendée (M. Philippe de Villiers), le Député du Sud Vendée (M. Sarlot), le Député au Parlement Européen (M. Souchet).

Mis à part le Ministère de l’urbanisme, si les avions faisaient autant de bruit que les autres, quelle tranquillité !

Nous avons l’intime conviction que cette affaire est entachée d’irrégularités, mais s’il nous était nécessaire de la porter en justice, nous serions bien en peine faute de moyens financiers, surtout face aux puissances de l’argent auxquelles nous nous opposons .

C’est pourquoi nous pensons que notre lutte revêt un caractère symbolique :

« Mettons fin au pouvoir de l’argent, de plus en plus destructeur à tout point de vue, et de la peur qu’il engendre auprès des gens modestes ; n’est-ce pas ce qu’on appelle la mondialisation ? »